Selon un sondage effectué par l’Association fédérale allemande pour les technologies de l’information, les télécommunications et les nouveaux médias (BITKOM), le nombre de postes ouverts pour les spécialistes en IT a augmenté de 13% en 2012. Même si le Bureau du Travail n’a pas confirmé cette tendance pour l’ensemble du secteur informatique dans son analyse de janvier 2013, il a indiqué malgré tout que cela serait resterait vrai pour le développement de logiciels.
Dans ce contexte, comment les sociétés peuvent-elles couvrir leurs besoins jusqu’à ce que les mesures prises (comme leurs programmes de formation) deviennent efficaces ?
Une solution très attractive en raison de la pression toujours croissante sur les coûts, serait d’externaliser les activités de développement en Roumanie, processus également connu sous le nom de « nearshoring ».
Pour les allemands, la Roumanie est encore quasi inconnue. Ce n’est plus le cas en France, par exemple, grâce à la similitude linguistique. C’est la raison pour laquelle il faudrait d’abord surmonter la réticence qui existe en Allemagne.
Depuis les évènements politiques de 1989, les deux cultures entretiennent des liens très étroits. La plupart des développeurs de logiciel sont nés après 1989, donc leurs connaissances sur l’avant 1989 sont basées sur les ouï-dire. Même si leur paysage urbain garde encore les traces du passé, nos valeurs spirituelles sont similaires depuis longtemps : en terme de mœurs, fiabilité, relations hiérarchiques et systèmes de valeurs. Cela représente un avantage réel par rapport au développement de logiciel en Asie (ce que l’on appelle offshoring) qui existe depuis longtemps et qui est en régression justement pour ces raisons.
Les matières enseignées dans les universités roumaines sont également similaires à celles enseignées en Allemagne. Quant à la langue, tous les développeurs de logiciel roumains maîtrisent parfaitement l’anglais. En raison des implantations allemandes dans la région actuelle de Transylvanie aux XIIe et XIIIe siècles, il y a aussi des gens qui parlent allemand et de nombreux développeurs parlent français compte tenu du fait que le français et le roumain sont deux langues latines.
Pentalog profite pleinement de ce contexte extrêmement favorable. Nous avons un nombre total de 800 collaborateurs en Roumanie dans les 5 villes où nous sommes implantés et une filiale dans le pays voisin, la République de Moldavie. En dépit de la grande similitude culturelle, Pentalog a introduit un niveau supplémentaire de directeurs de projets qui parlent l’allemand comme langue maternelle et qui serviront d’interlocuteurs auprès de nos clients germanophones ; ils sont basés en Allemagne d’où ils gèrent les projets. Le cas échéant, les directeurs sont responsables de la gestion d’escalade.
Pour conclure, je dirai que développer un projet avec Pentalog signifie pour nos clients «développer des logiciels comme en Allemagne, mais dans des conditions plus avantageuses».
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