Initiée en début d’année sur 4 projets, la mise en place de métriques de développement facilite désormais grandement les estimations, la planification ainsi que le suivi d’efficacité collective et individuelle sur ces projets. Les estimations de tâches, demandées en continu par les clients dans les TMA, ont gagné en rapidité et en fiabilité. Quant aux référentiels, leur affinement au fil des mois permet à présent de passer au stade supérieur, celui de l’optimisation d’efficacité des équipes.
Sans être réellement complexe, ce travail demande avant tout des chefs de projets un peu de rigueur et du temps de réflexion (quelles sont les meilleures unités d’œuvre à retenir ? comment les définir ?) mais une fois initié, les gains de temps et d’efficacité engendrés justifient largement l’investissement, Mihai, Elena, Dan et Ion en témoigneront sûrement.
Ces travaux se poursuivent à présent sur de « nouveaux projets », et d’autres figurent encore dans la liste des projets à faire évoluer d’ici la fin de cette année sur ce type de pratiques.
D’un autre côté, les revues de processus auxquelles ont participé Mike, Pierre, Viorica, Maxim et quelques autres, au mois de mai, ont permis d’avancer grandement sur l’évolution que nous souhaitions apporter à nos pratiques communes.
L’idée maîtresse de ces revues, dirigées comme toujours de main de maître par Pierre de Thelin : nous améliorer sur tous les aspects de mesure et de traçabilité, avec pour fil conducteur l’intégration de pratiques issues du modèle CMMI (niveaux 2 et 3).
Des activités de collecte, synthèse et amélioration, ou de recherche et développement ont ainsi été initiées ou planifiées sur des sujets comme la standardisation des indicateurs projets et le développement des outils de reporting ; l’inter-opérabilité de nos outils de planification, de gestion des charges et de suivi des anomalies (trio epole-métriques-mantis au premier plan) ; la possible intégration de nouveaux outils comme Enterprise Architect ou Jazz ; le partage de nos connaissance sur la gestion de configuration ; l’évolution de nos pratiques de tests ; ainsi que la mise en place d’une traçabilité des exigences (au sens CMMI du terme) depuis la définition des besoins jusqu’à la corrections des anomalies en passant par toutes les étapes du cycle de développement logiciel.
Concrètement, de nouveaux modèles de propositions commerciales, plus complets, plus détaillés, plus didactiques – et plus éducatifs pour nos clients – ont déjà vu le jour grâce à Hélène, Sophie et Monica. De nombreuses traductions, pilotées par Alex et Ioana, permettent maintenant l’accès de tous à la majorité des ressources de l’entreprise dans ce langage universel qu’est l’anglais (le langage par défaut de Pentalog demeurant – et nous tenons à cette spécificité ! – le français). Un travail de refonte des plans qualité est également en voie d’achèvement.
Voilà quelques semaines, des actions de collecte et de synthèse ont été lancées par Ioana sur les pratiques de tests, dans le but de préparer les activités des groupes de travail qu’animeront Cornel et Aymeric sur l’évolution de nos outils et pratiques ; Cornel valide ces jours-ci le B.A-A-BA de la gestion de conf. préparé par Ioana et Cata pendant que LudoG s’arrache les cheveux à imaginer des tableaux de bords projets automatisés, liés à nos outils.
Bref, la roue de Deming tourne, vite, aussi vite que possible. Et moi aussi je dois m’améliorer : je dois communiquer plus 😉