La demande pour le freelancing tech a augmenté de 30% sur les deux dernières années, selon les données de Pentalog.
Une hausse qui s’accompagne d’un changement de paradigme puisque les leaders tech recherchent moins de développeurs et davantage d’experts IT, notamment dans l’architecture, la sécurité ou la gestion de projet.
S’ajoutent à cela le besoin d’aller encore plus vite et de se montrer encore plus flexible compte tenu du contexte économique.
Seules les entreprises les plus fortunées tireront leur épingle du jeu dans ce cas ?
Pas sûr, si l’on regarde du côté du Maroc et de la Roumanie.
60% des entreprises choisissent des freelances tech pour des missions stratégiques
Après avoir réussi le cap de la digitalisation, les entreprises sont entrées dans une période où elles doivent s’appuyer sur l’innovation pour se consolider.
Les grandes innovations se nomment Big Data, automatisation, intelligence artificielle ou encore Cloud et elles représentent de puissants leviers de croissance.
Aujourd’hui, plus que des développeurs, les entreprises souhaitent avant tout des partenaires stratégiques, capables d’articuler la stratégie technique en fonction des objectifs business.
C’est pourquoi leurs recherches s’est progressivement orientée vers des profils plus atypiques.
Avant la pandémie, 60% de nos clients demandaient des développeurs en freelance (freelances PHP, Java, JavaScript, etc.). Les 40% restants se répartissaient entre les besoins de consultants et de profils de niche.
Depuis un peu plus de deux ans, les demandes ont drastiquement changé.
Si la demande pour des développeurs en freelance reste constante, elle est en net recul par rapport aux demandes de freelances sur des postes de niche.
Aujourd’hui, 20% de nos clients recherchent des développeurs.
Le reste se répartit à part égale entre les entreprises qui recherchent des consultants et des architectes avec des compétences très spécifiques (comme PLM. NS-DK, IBMi, Anaplan, Boomi/solace, conduite changement etc.) et celles qui souhaitent travailler avec des experts, type chef de projet, consultant infrastructure, administrateur de systèmes et des responsables de la sécurité des systèmes d’information (RSSI). Enfin, 20% des demandes portent sur les architectes (Cloud, Solutions, Infrastructure).
Plus l’économie se tend, plus les entreprises doivent faire preuve de rapidité et de flexibilité
Des demandes de plus en plus spécifiques, auxquels s’ajoutent le besoin de rapidité et de flexibilité, compte tenu des tensions économiques.
La capacité à pivoter, à répondre aux nouveaux besoins des utilisateurs ou à s’adapter à temps demeure un avantage concurrentiel de poids pour les entreprises.
Là encore, elles peuvent compter sur les freelances tech pour les soutenir.
Alors que le recrutement d’un salarié prend en moyenne 4 à 6 mois, il faut moins de 2 semaines pour onboarder un freelance.
Un délai qui peut être optimisé si l’entreprise passe par une plateforme spécialisée :
- En mode moteur de recherches : l’entreprise choisit parmi plusieurs milliers de CV ou dépose son projet en ligne et attend les réponses des candidats.
- En mode solution clé en main, comme le propose Pentalog : évaluation des candidats, envoi de profils, gestion contractuelle et administrative prise en charge par la plateforme.
Le freelance tech apporte un shot de compétences à l’entreprise, qui peut en tirer des bénéfices même après la collaboration, notamment grâce au peer-programming et au code review pour aider l’équipe interne à monter en compétences plus vite.
Manon Gélibert, alors cheffe de projet pour le programme J’Apprends l’Énergie – ENGIE, témoigne de la valeur ajoutée du freelancing, qui va au-delà de l’opérationnel : « Vincent (le freelance placé par Pentalog) est carré dans sa façon de travailler et de ce fait, il est souvent sollicité par l’équipe IT pour partager ses conseils ou sa méthodologie. »
Travailler avec les meilleurs freelances tech, vite, tout en maîtrisant ses coûts : l’équation impossible ?
Si la différence de statut entre salariés et freelances se gomme de plus en plus au sein des équipes internes, les frontières s’effacent également au moment de rechercher la perle rare.
Une tendance qui s’est renforcée avec la généralisation du télétravail.
Les entreprises veulent avoir plus, plus vite et pour moins cher, pourrions-nous résumer.
La solution qui réunit ces 3 critères ? Regarder du côté du Maroc, de la Roumanie ou de la Moldavie, où le TJM (taux journalier moyen) des freelances tech est 15% à 30% moins élevé que celui des freelances français.
Une tendance confirmée par Houssine, développeur en freelance qui vit au Maroc : « Des entreprises se rendent très régulièrement au Maroc pour prendre contact avec des développeurs. Le besoin en ressources tech est si important que le processus de sélection est très rapide et les entreprises n’hésitent plus à collaborer avec des développeurs juniors. »
En comparaison au freelance tech français :
- Freelance tech roumain : 15-20% moins cher
- Freelance tech marocain : 30% moins cher
Ces 3 destinations sont citées à dessein car elles présentent des caractéristiques communes:
- Une communauté IT en forte expansion
- Une proximité géographique (décalage horaire absent ou d’une heure seulement)
- Une culture marocaine et roumaine fortement marquée par la francophonie
Si on résume…
Le freelance tech a d’abord été d’une aide précieuse pour accompagner les entreprises à passer le cap de la transformation digitale.
Sa valeur n’a fait qu’amplifier au moment où sont apparues les technologies de pointe comme la Big Data, l’automatisation et l’intelligence artificielle.
Son expertise de haut niveau, la richesse de ses expériences professionnelles et sa disponibilité ont permis aux entreprises d’injecter ces innovations dans leurs produits rapidement afin de consolider leur croissance.
La rapidité et la flexibilité sont deux paramètres cruciaux pour les entreprises, surtout en période de crise économique. C’est pourquoi elles se tournent vers des pays comme la Roumanie et le Maroc pour répondre à leurs besoins.
Ces destinations leur permettent aussi de challenger les tarifs.
Dans un contexte économique tendu, mobiliser les bonnes compétences au prix juste est plus que jamais le nerf de la guerre pour les entreprises.
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À propos de Pentalog : Riche de 30 ans d’expérience dans le développement de produits digitaux, le groupe Pentalog compte plus de 1 600 ingénieurs présents en Europe de l’Est, Afrique du Nord, Asie et Amérique latine. L’algorithme d’évaluation propriétaire de Pentalog pré-qualifie les ingénieurs d’après leurs compétences techniques et relationnelles et identifie le Top 3%.