La SSII française, n°1 de la R&D offshore-nearshore dans l’Union Européenne attend une croissance organique d’environ 24% au T1 2012. Encore une fois, ce sont les ventes réalisées hors de France, en particulier en Suisse et en Allemagne, qui tirent cette performance. Le Groupe orléanais continue en effet à augmenter ses capacités de production pour la première économie d’Europe et s’investit commercialement sur des affaires de plus en plus volumineuses dans le pays.
La France est très active sur le front des nouveaux clients en ce début d’année. Pentalog se réjouit en effet de nouvelles relations commerciales avec de jeunes sociétés, très dynamiques, dans le domaine du web et de la santé (secteur de croissance potentiel nouvellement identifié par Pentalog). Dans le Web, tout d’abord, les opérations démarrent avec le n°1 européen des moteurs de recherche dédié au commerce électronique, qu’il a fallu pourvoir de capacités algorithmiques de très bon niveau. Ce nouveau client sera accueilli par notre site de Cluj. Le deuxième client français officie lui dans l’imagerie médicale (interprétation des images). C’est le site de Sibiu, particulièrement à la pointe dans les domaines scientifiques et techniques, qui prend les opérations en mains.
Dans tous les pays, nos clients continuent de pointer la difficulté à trouver des ressources et recourent d’avantage au nearshore européen pour des raisons de capacité que dans un but de réduction des coûts. L’année 2012 se présente bien pour Pentalog, malgré la réduction prévisible de certains grands chantiers en cours d’année dans les télécoms. La croissance organique pourrait se replier un peu au T2 autour de 15%. Des opportunités de chiffre d’affaire conséquentes existent pour la fin de l’année. Le Groupe devra les concrétiser d’ici à la fin du T2.
L’effectif sera de 730 personnes à la fin du premier trimestre.
Pentalabbs, l’incubateur et laboratoire d’idées de Pentalog a accueilli une nouvelle start up en janvier, portant à 5 le nombre de projets accompagnés et à 45 personnes l’effectif qu’elles emploient collectivement. Leur taux de croissance varie entre 50 en 150% d’une année sur l’autre. Cette croissance n’est pas prise en compte dans le calcul de performance trimestrielle du groupe.